Ni roman, ni récit, La Tour de Londres n'est pas Big Ben se présente comme un almanach : cinquante-deux courtes histoires, une pour chaque semaine de l'année.
L'auteur, se livrant à des associations burlesques, revisite les contes populaires, d'Ali Baba à la Belle au Bois dormant, pour nous convier dans un univers fantastique inspiré de l'imaginaire enfantin. N'hésitant pas à mélanger les genres, ces cinquante-deux semaines renouvellent avec légèreté et humour des thèmes vieux comme le monde : la révolte, l'exil, l'enfermement, la mémoire. La parodie et la dérision n'épargnent ici personne, surtout pas l'auteur...